ISRAEL TRUTH TIMES

A blog dedicated to investigating events as they occur in Judea and Samaria, in Israel and in the world, and as they relate to global powers and/or to the Israeli government, public figures, etc. It is dedicated to uncovering the truth behind the headlines; and in so doing, it strives to do its part in saving Judea and Samaria, and by extension, Israel and the Jewish People, from utter destruction at the hands of its many external and internal enemies.

Wednesday, December 9, 2009

Read about Israel, then compare to France: same pressure applied to doctors; France only further along totalitarian and illegal medical rule. Quite a shocking account! French doctors and nurses are very upset.


Health Ministry to Medical Staff: Get H1N1 Inoculation

Kislev 21, 5770, 08 December 09 07:13
(Israelnationalnews.com)
The Health Ministry has begun a campaign to urge doctors and nurses to take the H1N1 swine flu inoculation. So far, Ministry officials said, the response to calls by medical staff to receive the inoculation has "not been high."
The Ministry will hold a number of seminars and other events in the coming days to emphasize to medical staff the importance of getting the inoculation, officials said.



French Student Nurses Protest Squalor and Terror in Army-run Vaccine Camps


For the English version, see below: quite a shocking story, with first-hand accounts by student nurses.


News Of Tomorrow
L'envers du décors des camps de vaccination - Au secours !
samedi, 5 décembre 2009 / Archétype
'Source : Doctiossimo)
LE MOT D'ORDRE EST DE VACCINER A TOUS PRIX, QUELQUE SOIT LES RISQUES !

Aujourd'hui se tenait une manifestation d'étudiants infirmiers devant le ministère de la santé pour dénoncer la situation dont ils sont les victimes et l'organisation scandaleuse des centres de vaccinations.
Je me suis rendu à cette manifestation... Et j'ai appris des choses ! Environ un millier d'étudiants et "professeurs" sont venus, une délégation a été reçue par le ministère, mais rien, comme d'habitude dans les médias (si, 5 secondes sur TF1 qui ne disent rien sur le problème de fond).
Donc voilà la situation : depuis le 12 novembre, les centres de vaccination ont ouverts. La vaccination est faite par des étudiants infirmiers de troisième année, au départ volontaires. Puis il a fallut faire plus, et les réquisitions ont commencées.
- Des réquisitions illégales : un simple mail, des listes collectives, un coup de téléphone de la DDRAS. Rien d'écrit alors que la loi exige un courrier nominatif, signé par le préfet, afin de clarifier les horaires, les modalités de l'action, etc (on parle de santé quand même !
- Des menaces envers les étudiants et leur diplôme : Pendant plusieurs semaines, les infirmiers réquisitionnés se sont rendus aux centres, et aujourd'hui ils ont l'impression de s'être fait avoir. Vous ne venez pas vaccinez ? Alors vous serez recalé pour le diplôme d'État ! Mais surtout, tous doivent cesser leur stage indispensable pour leurs études, ils ne peuvent plus suivre les cours, ou sinon réussir à terminer un mémoire ou préparer des examens après des heures de réquisitions... d'autant plus que les professeurs/encadrants sont aussi réquisitionnés. Et du coup, les premières année et deuxième années se retrouvent... sans professeur ! Du coup la carotte est la suivante : vous venez vaccinez et vous aurez votre diplôme sans problème (il ne vaudra rien). Avec à la clé, la menace d'envoyer les gendarmes à domicile si l'on optempère pas !
- Les détails : Normalement, il était prévu deux séances de vacations par semaine, et non vaccinez presque sept jours sur sept, de 8 heures à 22 heures ! D'autant plus que les étudiants ne sont pas rémunérés, ils doivent prendre à leur charge les transports, et ils sont souvent envoyés à des dizaines de kilomètres de là où ils habitent.
- La situation dans les centres : De nombreux étudiants sont venus témoignés. Ils dénoncent, et ce n'est pas des cas isolés :
- le fait qu'il n'y ait pas de gant pour vacciner ! :ouch :
- le manque d'organisation généralisé
- le flou autour de la vaccination des jeunes enfants, pas de consignes claires, dose de 0,25 ou 0,50 ça change d'un jour à l'autre
- les aiguilles ne sont pas adéquates
- un enfant de 8 ans fait un malaise, rien pour y faire face, dans tout un gymnase un seul brancard, une seule fiole d'adrénaline...
- les horaires sont épuisants, leur travail non rémunéré, pas de possibilité de se restaurer ou de boire sur place
- au moindre accident ils seront les premiers à être accusés, non assuré (pas de papier officiel)
- vacciner à tous prix, même les enfants avec des vaccins adjuvantés !
- il n'y a aucun contrôle d'identité à l'entrée, vous ou moi pourrions nous présenter comme médecin ou comme infirmier, pas de problème !
- les chefs de centre de vaccination sont méprisants vis à vis des infirmières
- plusieurs cas de séquestration (si, si !) : les vestiaires avec les affaires des infirmières étaient fermés a clé par les chefs de centre pour qu'elles ne puissent pas partir !
Il y a donc un ras le bol général, puisque aujourd'hui il y a eu confirmation grâce à la délégation envoyée, que les réquisitions devaient se faire en bonne et du forme, et plus à l'encontre de la loi ! Pendant plusieurs semaines, ils se sont fait avoir mais maintenant le mot d'ordre est le suivant : ne plus répondre au coup de fil de la DRASS, ne rien signer, ne plus se rendre au réquisitions qui sont illégales.
Quelques témoignages sur internet :
Citation :
personnellement j'ai reçu une admonestation très forte car j'ai refusé de faire vacciner trois personnes (02 allergiques et un sous métothrexate) et des enfants de moins de 10 ans avec le vaccin avec adjuvant ; Nous sommes tous soumis à des pressions très fortes de la part des chefs de centre et de la DDASS avec menaces au nom de la réquisition et du devoir de réserve. un seul mot d'ordre vaccinez ! Je ne parle pas des bouleversements des emplois du temps prévenu le mardi à 10h30 par deux policiers (qui ne voulaient pas que je marque l'heure de la réception de la réquisition) j'ai du me présenter l'après midi même à 15h00 sous peine de menace et d'amende. Même s'il y a urgences ( ?) il y a des limites... Bien à vous tous
Citation :
On nous a aussi fait sous entendre que si on participait à la vaccination comme des gentils petits moutons et qu'on arrêtait notre rebellion, tout se passerait bien mais que sinon le DE serait menacé. Ils veulent nous supprimer une MSP, la belle carotte pour qu'on vaccine. On doit rester jusqu'à 22h30 sur les lieux de réquisition, même le dimanche maintenant. On nous a annoncé ça aujourd'hui, y'a vraiment un moment où il faut stopper ça !
http://www.infirmiers.com/forum/grippe-h1n1-et-requisition-esi-t95654-195.html
Les médecins risquent 3750 euros s'ils refusent la réquisition !
Citation :
Seul le médecin est tenu de déférer à une réquisition de l'autorité publique sous peine d'une amende de 3 750 euros (art. L 4163-7 du code de la santé publique), mais si une réquisition peut imposer à un professionnel de santé de se rendre dans un centre de vaccination pour y travailler, l'autorité publique ne peut contraindre un médecin à prescrire un produit qu'il estime faire courir un risque grave à un patient. Si ce produit n'est pas prescrit, un infirmier ne peut l'injecter.
http://www.droit-medical.com/perspectives/6-la-forme/648-medecin-infirmier-requisitionne-oblige-vaccinner#ixzz0YiD0ZvcU
Réquisitions, menaces, amendes, séquestrations, mise en danger des patients... Bonnes vaccination à tous.
Commentaires :




  • L'envers du décors des camps de vaccination - Au secours !, dguimond, 5 décembre 2009
    La science à infusion lente commence à montrer son hideux visage depuis 1984.
    • L'envers du décors des camps de vaccination - Au secours !, rambo31, 6 décembre 2009


      Ce chantage face aux infirmières me fait penser à tous les allemands qui étaient forcé pendant la 2nd GM a "s'occuper" de toutes les personnes amenés dans les camps d'extermination.
      Bien sur il suffit de dire NON, mais il faut que ce mouvement soit universel ! Si les chefs des centre en sont réduit a faire appel aux 3eme années pour effectué les vaccinations, il n'y a aucun doute qu'ils n'auraient d'autre choix que de renoncé à l'injection si même les étudiants refusent de l'administré.
      Ce qui est désespérant, c'est de ce dire que c'est dans notre pays, et qu'aucun média nous en informe, personne n'est au courant de ces pratiques.
      • L'envers du décors des camps de vaccination - Au secours !, chami, 6 décembre 2009


        qu'ils refusent et qu'ils aillent à l'etranger passer leurs diplômes, comme de toute manière faudra faire venir des infirmiers de l'etranger... c'est le top. Bien sur, si certains se sentent patriotiques et revivifiés dans ce sentiment grâce à cette fameuse identité nationnale qu'on nous ressasse, et qui tombe à pic. On n'aura jamais l'âme patriotique des chinois qui se sont fait vaccciner en masse le jour commémoratif de leur nation... mais, c'est bien d'avoir essayer :-)
        • L'envers du décors des camps de vaccination - Au secours !, Eam6755, 6 décembre 2009


          J'aimerai savoir si vous avez entendu parler du Codex Alimentarius, génocide programmé pour le 31 décembre 2009. Une nouvelle directive de l'Union Européenne doit être mis en place au 31 décembre 2009 de cette année. Il s'agit de ce Codex qui limiterait considérablement les substances autorisées dans le domaine des médecines alternatives et des suppléments alimentaires, si la directive était votée. Le codex prétend :-limiter les nutriments (vitamines et minéraux à une liste étroite
           obliger que toutes les vaches de la planète soient traitées aux hormones Monsanto
           obliger que tous les animaux d'élevage soient traités avec des antibiotiques et des hormones de croissance
           il exige que toute la nourriture soit irradiée (sauf si elle est cuite)
           il rendrait à nouveau légaux, par contre, 7 des 9 pesticides les plus dangereux, actuellement interdits dans 176 pays. Refuser ces nourritures serait pour les pays une violation des traités commerciaux de l'OMC
          Dans leurs projections, l'OMC et de la FAO estiment elles-mêmes que la seule directive sur les nutriments aura pour effet la mort de 3 milliards de personnes, au minimum... Concrètement, il deviendrait par exemple illégal, s'il y a une famine, quel que soit l'endroit de la famine, d'envoyer des biscuits à haute teneur en nutriments et de les distribuer. Je crois qu'il serait bon de savoir plus sur ce fameux codex alimentaire et le refuser , sinon ce serait encore une atteinte de plus à notre liberté de choisir notre alimentation
















  • L'envers du décors des camps de vaccination - Au secours !, vieux jade, 5 décembre 2009
    Parmi toutes ces horreurs, on a l'impression que le mal triomphe. Les pauvres jeunes gens en sont réduits à ce triste choix : maillon docile ou crève la faim. Mais n'oublions jamais le principe de la rétribution. Chacun aura (dans un temps linéaire) sa pleine mesure de la violence exercée. Aujourd'hui, les pires démons sont lâchés sur les hommes. Certes. Mais leur temps est compté et leur triomphe de courte durée. Un clin d'oeil : une sentence latine disait : la roche tarpéienne (d'où l'on précipitait les condamnés à mort) est proche du Capitole. En clair, ça signifiait que la chute suit de peu le triomphe. Surtout lorsque ce triomphe est basé sur le mensonge. Autre clin d'oeil : dans la vision du prophète Daniel (AT), un rocher vient briser les chevilles du géant qui s'écroule vaincu. Rockefeller, grosso modo, ça signifie : rocher, et tomber (to fall). Rien de sûr, mais...
    • L'envers du décors des camps de vaccination - Au secours !, vieux jade, 5 décembre 2009


      Une petite précision : 6 ou 7 milliards d'humains, 6 ou 7 milliards de possibilités de dire NON.
      • L'envers du décors des camps de vaccination - Au secours !, Mater Ixe, 5 décembre 2009


        Cette courte phrase résume toutes les possibilités. Elle est universelle. Tout le bien que l'on peut faire à autrui est de lui apprendre à dire non, y compris à soi-même, si nécessaire. Cette "petite phrase" est une clé, pour moi. Un réponse toute simple à tout.













  • L'envers du décors des camps de vaccination - Au secours !, @robase, 7 décembre 2009
    J'ai remarqué dans les couples qui réfléchissent à l'opportunité de la vaccination, que les femmes sont beaucoup plus méfiantes que les hommes. Faut il faire un parallèle entre la pénétration vaccinale et l'acte sexuel où se sont les femmes qui doivent souvent en gérer les con séquences ?
    L' envers du décors





About a thousand student nurses and teachers staged a demonstration outside the Ministry of Health in Paris, France, on Saturday against a government order compelling them to work in the country's 1,100 swine flu vaccine centers as reports of disorganization, squalor and intimidation emerge.


The student nurses say they are being forced to work in inhuman conditions having to put in 14-hour days without proper breaks under a decree that compels them to work in the centers for no pay. Students who refuse report being escorted to the centers by the police.

Though student nurses are not allowed to give injections because they are not fully qualified, they are being made to work such long hours that they are unable to attend their regular classes.

They have to work seven days a week including Sunday from 8 am until 10 pm with barely a break in between in what appears to be part of a well known tactic to keep people so stressed that they have no time to organize a protest.

They have to pay for the costs of travelling often long distances to the vaccine centers out of their own pocket and are obliged to stay there until 10:30 pm.

The heads of the nursing school are reported to be putting intense pressure on the students to do their "duty" and give people jabs with the untested swine flu vaccine in the centers, the students say. Teachers are also being requisitioned, leaving the first and second years without instructors.

The students have been promised they will get their certificates without doing their exams as long as they work in the swine flu jab centers.

Students from the third year on were first asked to work in the vaccine centres on a voluntary basis but this changed in November, and now student nurses are being summoned to forced work by a phone call. The law on requisitions requires the summons to be delivered by a letter. However, the authority, DRASS phones students out of the blue with immediate demands.

Students working in the centers report chaos, the administration of arbitrary doses of swine flu vaccines as well as the absence of proper provisions to treat people who suffer a reaction to the jab.

A child of 8 who became sick after getting the jab could not immediately be helped because there was no adequate facilities with limited availability of even flowing water, one witness report.

The student nurses also say the doses they are ordered to give can vary from day to day for no apparent reason. People can wonder in and out of the vaccination zone with minimal security checks.

Babies are being given jabs with untested adjuvants. Nurses who resist are ordered to give the jab by their center's management.

The nurses report they are not allowed to rest or take a break; if there is a problem, they are the first to be accused.

Papers are also taken from them and put under lock and key.

The swine flu vaccine centers appear to be run by the army or branches of the police or fire services under the direction of the prefect of each department.

At least 100 to 150 army medical corps vaccination teams are reported to be already at work in the vaccine centers underling the military character of the vaccine campaign.

Family doctors have been systematically excluded from participating in the swine flu campaign on the orders of the government.

Very few nurses and doctors volunteered to work in the centers leading to the government requisitioning medical personnel to give the jab as well as units from the controversial army medical corps, which produces Tamiflu for Roche.

Only doctors can refuse the requisition order if they pay a fine of 3750 euros.

The mainstream media in France is not reporting the concerns of the nurses and doctors. TF1 showed only a clip of a few seconds of the nurses protest on Saturday outside the ministry of health when a delegation met government officials.

However, even the sanitized mainstream media clips of the vaccine centers portray a the vaccination campaign that resembles a military operation in an occupied country rather than a medical programme.

One video shows people standing in the freezing cold for up to four hours in the cold outside a center.


What appear to be security or army personnel open chained gates and wave people on with hand signals.

Inside the centers, people stand in over crowded corridors.

Most of the sports hall is taken up with an administration area comprising metal barriers, a group of tables with numerous white tents that serve as the injection cubicles.

New arrivals are crowded together in the remaining portion having to wait in lines to register.

Another video shows the same long queues and over crowding in a center in Lyon run by Lieutenant Colonel Claude Guillard, a high ranking commander in the Rhone department fire fighting services.


Nurses are seen wearing plastic overcoats and gloves. People are being shown injected with the swine flu vaccine sitting on a chair in front of desks covered with papers. There appear to be minimum hygiene provisions.

Many of the centres have security locks on the orders of the government, sparking fears that at some point the government is planning to make the vaccination compulsory.

The pictures of long lines of freezing people waiting for hours in the cold with their children are reminiscent of war zones.

The nurses are now protesting the illegal requisition orders made by phone and the illegal requirement to give toxic substances to their fellow human beings.

In a campaign of non compliance, they are refusing to go and refusing to sign any papers.

Criminal charges should be brought against DRASS, the management of nursing schools and vaccine centers, the government and the pharmaceutical companies for using illegal means to force student nurses to carry out illegal orders that potentially result in harm to other people.


(From the Flu Case).



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